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La discopathie est un traumatisme touchant nos disques intervertébraux.
Ces disques se trouvent entre chacune de nos vertèbres, ils s’apparentent à des sortes de cousins de protection pour pallier aux différents chocs et tension que notre colonne subit au quotidien. Ils travaillent également à améliorer la mobilité de notre colonne vertébrale et de nos mouvements.
Expliquons maintenant qu’elles sont les symptômes de la discopathie, ses causes et traitements possibles.
La cause la plus commune d’une discopathie est l’arthrose. (Lien arthrose cervical) Notre corps, au fil des années va s’user et le cartilage des disques intervertébraux va s’effriter. C’est quelque chose de tout à fait naturel qui touche surtout les personnes de plus de 50 ans.
Même à l’heure d’aujourd’hui, le phénomène de l’arthrose n’est pas clairement compris par les docteurs. Une opération chirurgicale est possible pour soigner l’arthrose mais elle reste très peu commune. Il est donc conseiller de d’abord traiter le mal de façon naturel.
La discopathie est comme nous l’avons vu, relative aux disques intervertébraux. C’est pour cela que le principal symptôme de la discopathie est une douleur pouvant subvenir dans n’importe quelles zones de notre rachis. Tout dépend de quel disque intervertébral est touché ou non.
Il est donc possible de ressentir une douleur vive au niveau de la nuque ou bien le bas du dos. Le principal problème pour un médecin est de savoir où exactement se situe le mal. Pour se faire il fera un scanner de votre dos en injectant au préalable un liquide dans l’un des disques intervertébraux qu’il soupçonne défectueux.
Ce liquide lui permettra de savoir clairement si le problème se situe à ce niveau ou non. Mais comme presque tous les traumas du dos qui ne font pas partis des drapeaux rouges (lien drapeaux rouges), on peut d’abord utiliser l’auto médication pour soulager nos douleurs voir les faire disparaître.
Si nos conseils n’ont aucun effet et que la douleur persiste et ne diminue pas, aller consulter votre médecin par précaution. Apprenons maintenant les soulagements et préventions possibles contre la discopathie.
Abordons d’abord les solutions naturelles.
Repos
Comme bien souvent dans le cas d’un mal de dos, le repos modéré est suggéré. Cela ne signifie en aucun cas rester au lit toute la journée. Continuer vos activités quotidiennes sans forcer.
Un repos continu aura l’effet inverse escompté. Il est donc primordial de rester mobile.
La kinésithérapie
Pour soulager votre discopathie, un kiné peut être une bonne solution. Les exercices de kinésithérapie pourront vous revitaliser et palier les faiblesses de votre dos.
Le sport
Si vous pratiquez trop ou pas de sport (lien article sport), votre dos risque d’en souffrir. Pour soulager et prévenir votre discopathie, rien de tel que la pratique d’un sport de façon raisonné. Si on n’est pas sportif, il ne faut pas débuter par faire un marathon. Réfléchissez à vos capacités et réagissez en conséquence.
Une heure de marche, un peu de vélo ou de la natation de façon régulière va muscler votre dos et permettra peut-être d’éviter des soucis de dos.
Le régime
Si vous êtes en surpoids, il est conseillé de réguler votre alimentation (lien surpoids). Évitez les sucreries et les graisses et alimenter vous de façon plus saine. Car plus votre poids est élevé et plus votre rachis doit supporter ce poids.
En pharmacie, il est possible de se procurer des médicaments qui vont soulager votre mal. Dans le cas d’une discopathie, on pense aux anti-inflammatoires et aux médicaments antidouleurs ou antalgiques. Commencer toujours débutez par les doses les plus faibles et évaluez si oui ou non vous avez besoin d’augmenter leur puissance.
En dernier recours et si la discopathie s’aggrave vers une hernie discale. Votre médecin peut vous conseiller la chirurgie. Néanmoins, opérer le dos est toujours risqué et se révèle utile que dans des cas très graves.
Dans le cas d’une maladie qui touche les disques intervertébraux telle que la discopathie, une opération chirurgicale visera à remplacer le disque défectueux ou placer des implants si le disque malade peut être partiellement gardé. Ou encore visser à l’aide de tiges, les deux vertèbres situées de part et d’autre du disque malade.